Certaines informations concernant vos candidats locataires peuvent être vérifiées sur le web, ce qui permet de se passer d’une enquête de prélocation. Mais cette stratégie n’est pas toujours payante, surtout si vous n’êtes pas habitué à analyser les complexes rapports juridiques de nos tribunaux.
Un locataire pénalisé par la Régie du logement
C’est ce qui est arrivé à un locataire, qui s’est récemment vu refuser une demande de rétractation d’un jugement par la Régie du logement pour non-paiement de loyer, ce qui lui porte sérieusement ombrage dans sa recherche de logement. Le hic, c’est que le jugement en question vise plutôt quelqu’un d’autre, mais dont le nom est identique.
Alors qu’il est à la recherche d’un nouvel appartement, l’homme se voit refuser, tour à tour, les logements qu’il convoite. La raison évoquée par les propriétaires est la même à chaque fois : il existerait à la Régie du logement une décision à son nom, datant de 2010. Malgré tout l’ombrage que cela puisse porter à cet homme, le Tribunal n’a eu d’autre choix que de rejeter sa demande de rétractation, sous prétexte que ce dernier n’a jamais été une partie visée par ledit jugement.
Exigez le meilleur de l’enquête de prélocation
Ce genre de cas vécu vient, une fois de plus, justifier le recours à un service professionnel d’enquête de prélocation, comme ProprioEnquête®. Dans ce cas-ci, les propriétaires qui ont refusé le plaignant, se sont fiés à tort à ce qu’ils avaient probablement trouvé par eux-mêmes sur Internet. C’est donc dire que les propriétaires qui effectuent eux-mêmes leurs recherches sur le Web s’exposent à des références dont la fiabilité est aléatoire. Non seulement ils risquent de louer à de mauvais locataires, mais à l’inverse, ils se privent peut-être de louer à de très bons. Pour cette raison, la CORPIQ offre le service ProprioEnquête®, qui se distingue des autres services du genre grâce à des équipes implantées dans les palais de justice, permettant ainsi de valider la recherche et l’identité d’un candidat locataire.